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Le blog du Centre Européen de Formation
prothésiste ongulaire
Publié le 07 février 2014, par Amandine

La loi redéfinit le métier de prothésiste ongulaire

A domicile ou encore dans un Nail bar, la prothésiste ongulaire travaille son art en fonction des attentes de ses clientes. Mais les règles régissant l’onglerie ont changé depuis le début de l’année 2014, avec ses conséquences pour la profession…

Des missions artisanales variées

Experte dans la beauté des ongles, la styliste ongulaire propose les produits les plus adaptés à son public. Elle œuvre chez les particuliers, en institut de beauté, ou encore dans un bar à ongles, et maîtrise toutes les techniques de Nail Art et de pose de faux ongles.

La prothésiste ongulaire a différentes missions : elle doit d’abord débusquer les éventuelles contre-indications de sa clientèle par l’intermédiaire de questions pertinentes, examiner la qualité de l’ongle et poser le gel UV ou la résine lors de la prestation. La professionnelle de l’onglerie décore ensuite l’ensemble en appliquant vernis, bijoux, motifs… avant de retirer la prothèse (avec une lime par exemple).
Cette activité manuelle doit répondre à différents critères d’hygiène et de sécurité, et se conformer à la loi en vigueur, modifiée fin 2013.

 

Une nouvelle réglementation explosive

Depuis le 1er janvier 2014, la prothésiste ongulaire doit forcément posséder un CAP esthétique cosmétique, ou avoir au moins 3 ans d’expérience professionnelle dans le métier pour travailler. Dorénavant, un certificat de qualification professionnelle ne suffit plus.

S’appuyant sur une circulaire de la DGCCRF, la plupart des Chambres des métiers françaises refusent à présent toute immatriculation au métier de prothésiste ongulaire sans diplôme d’esthétique ou d’expérience significative. De plus en plus de professionnelles à leur compte subissent quant à elles des contrôles de la part des services de la Répression des Fraudes (avec menaces de sanctions ou de fermeture en cas de situation irrégulière).

Conclusion : les règles du secteur évoluent sans cesse, et le CAP n’a jamais été aussi fiable !

Mise à jour du 22/02/16 : Plus d’infos sur le site de la CNEP